Martine Moïse a enfin trouvé la réponse

 

MADAME MARTINE MOÏSE A ENFIN TROUVÉ LA RÉPONSE...

Par Me Maurice CELESTIN-NOEL LECHAPEAUTEUR 

"Mieux vaut tard que jamais"

Une question troublante, pertinente, embarrassante, dérangeante même, sur les bords, a été posée publiquement à l'ex-Premier ministre Claude JOSEPH par l'ex-Première dame Martine MOÏSE. De retour des États-Unis où, peu après l'assassinat de feu son mari, elle a été, disait-elle, en traitement, madame Martine MOÏSE, sur la piste de l'aéroport avait comme question cinglante adressée à monsieur Claude JOSEPH: "QU'ATTEND-ON POUR ARRÊTER BADIO?" Question, à la vérité, fort gênante et renversante, à laquelle ne s'attendait pas l'interlocuteur qui était resté coi, qui n'a pas pu répondre sur le champ. Question d'allure spontanée,  publique demeurée, jusqu'avant hier, sans réponse. Interrogation déséquilibrante et assez cavalière, d'une ex-Première Dame qui se croyait encore investie des mêmes pouvoirs. Disons mieux, des mêmes prérogatives...

Madame MOÏSE, depuis, était à l'attente. Elle n'était pas seule à vivre les transes de l'expectative. Le public aussi comptait les jours qui passèrent sans que le fuyard Joseph Félix BADIO soit apréhendé de sa cachette d'où il préparait et publiait ses " voices" musclés qui annonçaient sans cesse des jours sanglants et chaotiques pour des hommes clairement visés. Redevables envers lui. Tenus par le bout du nez par une clandestine affaire inavouable aux dessous délicats et menaçants. Sur un ton d'homme aigri prêt à acceuillir la mort, il promettait, avant de se rendre à l'Orient éternel de se venger de tous ceux qui se montrent irrespectueux de leurs promesses. Des promesses jusqu'ici non dévoilées. Mais il semble que si la peur d'affronter l'homme qui s'est longtemps mis à couvert sans pour autant subir les affres du maquis, a tenu en état les actions à mener contre lui, l'imprévisible s'est manifesté avec grand étonnement. Au moment où l'on  s'attendait le moins, le hasard, cette "rencontre de deux séries causales indépendantes" a fait qu'il a été menotté et embastillé. Il est vrai, d'après ce qui se dit, qu'il a usé de tous ses moyens pour se faire enlever la vie, mais les policiers qui procédaient à son arrestation ont fait preuve de lucidité et de sang froid pour le maîtriser au lieu de l'abattre comme il l'aurait voulu. Aux dires des passants, au cours de sa bagarre avec les policiers, d'offensants coups de pieds bottés lui ont été violemment administrés. En témoigne son allure boîteuse observée sur les vidéos. BADIO, porteur d'un grand et génant secret, est actuellement aux ordres de la "FORCE" qui le forcera certainement à vomir les grandes vérités que madame Martine MOÏSE attend entendre sortir de sa propre bouche. Espérons qu'enfin la lumière jailisse sur le trop long processus devant établir la vérité sur la mort de feu Jovenel MOÏSE et par la même occasion sur celle du feu batonnier maître Monferrier DORVAL...

Finalement, madame veuve Martine MOÏSE se trouve à deux pas de la boîte de Pandore au fond de laquelle sont jalousement enfermés le POURQUOI et le COMMENT du massacre de feu son mari, ce démon d'hier, ce saint d'aujourd'hui: magie du victimisme haïtien.


21 Octobre 2023

Crédit: Me Maurice CELESTIN-NOEL 

LECHAPEAUTEUR

 rmaurice.celestin@gmail.com 



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